Mode d’emploi
1. Conditions d’accès et d’usage de la revue desexil 2021
2. Comment lire les matériaux ?
« Mettez tout cela par écrit sans rien cacher, car rien n’est plus émouvant que l’expérience vécue et l’observation directe (…).
Ajar Emile, Gros Calin.
Je suis toujours impressionnée par l’incompréhensible car cela cache peut être quelque chose qui nous est favorable. C’est rationnel chez moi».
1. CONDITIONS D’ACCES ET D’USAGE, DE CITATIONS
Tous les contenus du projet PRAXIS-MEMOIRE-ARCHIVE sont mis à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution – Pas d’Utilisation Commerciale – Pas de Modification 4.0 International.
Vous êtes autorisé.e. s à partager – copier, distribuer et communiquer le matériel par tous les moyens et sous tous formats en citant à la fois le site, pour lequel des accords ont eu lieu avec des éditeurs et auteurs à respecter, et la source précise de l’article et matériaux.
ACCES GRATUIT
L’accès aux matériaux de ce site hébergé par Infomaniak et sur Creative Commons Attribution est gratuit, sous respect des conditions d’accès, d’usage, de citation précisées.
La base de données a été construite sur la base des matériaux que nous avons pu recueillir grâce à des collaborations diverses. Un immense travail non salarié a été effectué pour chercher, recueillir ces données. Certaines personnes ont pris des risques personnels pour le faire.
Le terrain de recueil des données est à la fois vaste et limité. Il concerne en particulier ce qui s’est passé en Suisse romande (Lausanne, Genève, Neuchâtel) autour du réseau Solidarité sans Frontières, de travaux de recherche en Suisse et dans l’UE et aussi dans d’autres continents (Amérique latine, Chili, Turquie). Bien que j’aie circulé dans toutes les parties de la Suisse, au gré des luttes sociale d’asile, du droit d’asile, le temps a manqué pour recueillir les matériaux concernant la Suisse alémanique (Bâle, Zurich, les Grisons, Lucerne, etc.) et le Tessin, à part des exemples notoires qui sont indiqués. Il existe des travaux sur les mouvements sociaux dans ces lieux. C’est un point très positif. La Suisse est organisé autour d’un Etat fédéral où les régions ont beaucoup d’importance. Cela peut s’observer non seulement dans la « gouvernance d’Etat », mais aussi dans la dynamique et les difficultés de synthèse de la société « civile » (à faire en plusieurs langues).
Pour prendre connaissance du contenu et saisir l’élaboration de questionnements politiques et philosophiques après coup, sur l’hospitalité politique, sur la méthode, sur le laboratoire Schengen-Dublin-Frontext (mensonges politiques), sur les politiques de disparition, sur le desexil de l’exil et l’Université libre et autonome, il est important dans la lecture, de retourner à la partie Une réflexion philosophique et politique après coup. Pour le bilan critique et les cinq propositions, voir la partie finale.
Si certaines références sont incomplètes dans la table des matières, on peut les retrouver dans les documents (livres, articles insérés en PDF, ou encore dans la bibliographie en annexe de M.C. Caloz-Tschopp à la fin).
POUR CITER LE SITE ET LES COMPOSANTS
Projet DESEXIL-PRAXIS-MEMOIRE-ARCHIVES + titre complet du document avec nom d’auteur et place dans une des cinq parties du plan général.
ARTICULATION AUX REVUES EN LIGNE EXISTANTES
Pour les activités entre 2010 et 2020, voir aussi : exil-ciph.com, le site et la revue en ligne crée (8 numéros), auquel succède le projet (1968-2020) sous la forme d’une revue spéciale dans un site distinct, www.desexil.com.
Les conditions d’accès, d’usage, de citations sont les mêmes.
2. COMMENT LIRE LES MATÉRIAUX DU PROJET
Ce qui était prévu comme un petit travail de quelques semaines de mise en ordre de publications, de documents, de livres, de sources diverses au moment de transmettre un héritage après 50 ans de travail, a pris une ampleur inédite au fil des mois. Avec des limites inédites aussi. Le Covid-19 a représenté à la fois une limite matérielle, sociale, un ralentissement du temps et un miroir extraordinaire pour repérer ce qui était caché sous le tapis ou alors invisible durant ces 50 dernières années. Notre souci, lier le travail de mémoire sur l’avant à l’après Covid-19. Nous avons compté avec nos propres limites matérielles et nos propres choix ouverts à la réflexion critique.
BUTS DU PROJET
1. Retrouver des traces de gens, de héros ordinaires d’une période d’insouciance (années 60), de rêves et aussi d’engagement, depuis des défis et des apories, la complexité, l’imprévisibilité d’aujourd’hui. Ce qui nous a amenés à découvrir l’hospitalité politique, civique destituante/constituante et à mener une réflexion sur l’épistémologie, les concepts, les récits, la traduction, les méthodes pratiquées.
2. A partir de limites matérielles, temporelles, etc., faire un travail de mémoire et d’archives, de réflexion après-coup sur des politiques, praxis, matériaux, pour certains difficiles d’accès. Il existe de nombreux travaux de mémoires (luttes ouvrières, syndicales, féministes, anti-coloniales, anti-impérialistes, de secteurs professionnels, etc.). Nous avons travaillé avec des moyens limités, sur les terrains qui ont été les notres, ce qui a pu être accessible, en faisant des choix, sans prétention ni à l’objectivité, ni à la neutralité, ni à l’exhaustivité. C’est une praxis qui peut prendre sens au moment d’un désir de transmission d’un héritage. Elle reste expérimentale et limitée.
3. Utiliser, créer un espace autonome de mémoire, d’outils pour la mémoire aux frontières des institutions de tous ordres, en donnant la priorité à la libre-réflexion, à l’autonomie et à la prise de distance avec le marché.
POSTURE EN RECHERCHE
Nous avons choisi, dans le cadre de nos moyens, de l’état des connaissances, outils. de dans la décentration, la décolonisation, la désimpérialisation de la philosophie, des actions, de la recherche.
STATUT DE LA DECLARATION PUBLIQUE 2021 ET TEXTE FINAL
Nous avons formulé 2 postulats dans la déclaration publique et 5 propositions dans le texte final.
RESPONSABILITÉ
Le travail d’édition, de coordination a été mené à bien grâce à des collaborations multiples et par mes soins et j’en assume la responsabilité dans le cadre des conditions posées et dont nous avons pu disposer.
SI UNE ERREUR S’EST GLISSEE – GRATUITE
Nous avons veillé à respecter l’accord des auteurs et des éditeurs, le cas échéant, pour insérer des informations dans le cadre de la mise en œuvre du projet Praxis-Mémoire-Archives. Des vérifications ont eu lieu pour l’ensemble des sources. Dans certains articles repris de revues, les auteurs se sont assurés qu’ils avaient l’autorisation de la reprise de leur article. Leur responsabilité est engagée à ce niveau. Si une erreur s’est glissée, nous prions les auteurs et éditeurs, ne nous en excuser par avance.
Par ailleurs, dans l’usage des textes inclus dans le Projet Praxis-Mémoire-Archives, offerts en toute gratuité, nous demandons instamment aux usagers de ces textes d’indiquer leurs sources.
PRECISIONS
Au départ, des précisions permettent de mesurer le poids des engagements pour cette étape PMA dans la durée.
Le projet a été le fait d’un groupe de personnes non salariées et l’apport non rétribué de matériaux, textes, sources, droit d’édition, etc.. La mise en forme matérielle pratique a été assurée par une graphiste professionnelle indépendante (Stéphanie Tschopp), l’association Savoir Libre à Lausanne (Omar Odermatt), l’équipe de la Fondation de l’imprimerie Trajets à Genève (Vincent Gobet) que nous remercions tout spécialement. Des livres peu accessibles ont été digitalisés en PDF et sont ainsi devenus accessibles. L’engagement d’une équipe volontaire dans le travail effectué et aussi dans l’étape actuelle, dans des tâches diverses a été très important. Soulignons des collaborations solides, suvies d’artistes, de professionnels, chercheurs, militant.e.s, etc.. Des appuis financiers privés et d’une Fondation ont été précieux pour assurer les coûts de production indispensables.
Grâce à une longue collaboration avec des auteurs et des éditeurs, nous avons pu avoir mettre en libre accès des livres digitalisés en PDF et d’articles intégrés dans la base de donnée. Des auteurs en nombre ont cédé leurs droits sur leurS texteS. Nous avons aussi pu mesurer matériellement qu’il est difficile mais pas impossible de pratiquer l’accès libre à un capital culturel assurant la libre-circulation des idées.
APPUIS D’EDITEURS POUR LE LIBRE-ACCES DE LIVRES
Le travail de collaboration a été important avec des éditeurs et nous les remercions pour leur collaboration dans la mise en place d’une pratique de libre-accès de textes.
Signalons une longue collaboration très positive avec Denis Pryen fondateur et ancien directeur des Editions L’Harmattan à Paris. Il a autorisé la reprise de l’ensemble des livres publiés en tant qu’auteur et co-éditrice à l’Harmattan de nombreux livres depuis de nombreuses années.
Par ailleurs, il a accepté de mettre en ligne à l’Harmattan deux livres en espagnol (traduction par nos soins de trois féministes matérialistes, Colette Guillaumin, Nicole-Claude Mathieu, Paolo Tabet), ce qui a permis qu’un important travail sur ces textes féministes traduits en espagnol, soit largement accessibles à la fois en français (voir base de données) et en espagnol (voir site L’Harmattan), à la suite de notre travail au Chili et à Genève. Les titres figurent dans la base de données.
D’autres éditeurs (livres et revues) ont cédé leurs droits sur un ou divers livres: éd. Kimé, Paris ; éd. Dunod, Paris ; éd. La Dispute, Paris ; éd. CETIM, Genève ; éd. U. de Genève, FPSE (Cahier spécial contenant les textes de la fondation du Groupe de Genève) ; éd. de numéros de la revue Cultures et Sociétés, de l’U. de Strasbourg ; éd. Grimaces, Genève (pièce sur le rapport Bergier de José Lillo) ; éd. Tricle, Uruguay (livres de Maren et Marcelo Vignar) ; Lugar Editorial, Buenos Aires, (version espagnole du dernier livre de la psychanalyste Janine Puget édité en français ; elle a donné son autorisation quelques mois avant son décès en novembre 2020). Nous remercions chaleureusement ces éditeurs et auteurs.
Cette liste est incomplète, car dans l’avancement du travail d’autres éditeurs ont encore cédé leurs droits sur certains livres qui ont pu être reproduits à nos frais en PDF dans la base de données (voir base de données). Nous les en remercions encore.
Dans nos recherches, nous avons aussi fait l’heureuse découverte de quelques livres, d’auteurs en libre accès que nous avons pu intégrer aussi, ce qui est une exception dans les pratiques d’édition (ex. réseau Terra, une thèse de la Sorbonne, des thèses de l’UNIL, livre Rigouste).
Lorsqu’un accord n’a pas été possible, dans la mesure où certains livres sont signalés comme étant des références qui ne sont pas libres de droits, nous reproduisons la couverture, la table des matières et parfois l’introduction. Nous désirons mentionner ces outils précieux pour la formation et la recherche
APPUIS SPECIAUX D’AUTEURS
Signalons que le site Fortress Europ ? de Nicolas Busch décédé, a été mis en forme et remis par son frère Thomas pour être intégré au projet, ce qui est tout à fait remarquable et précieux pour saisir certains aspects de la genèse du « laboratoire » de Schengen. D’autres personnes ont recherché des traces de luttes et ont remis leur récolte qui sont aussi sur le site (procès d’un tortionnaire chilien ; Tribunal de Berlin sur le droit d’asile ; lutte sur le racisme d’Etat en Suisse ; luttes pour le droit d’asile à la Chaux-de-fonds, etc.). Signalons que plusieurs auteurs ont cédé leurs droits sur leurs thèses de doctorat et même sur un ou plusieurs de leurs livres. Deux auteurs de droit ont envoyé tous leurs textes sur la migration, le droit d’asile, l’asile en Suisse durant ces années (Karine Poslakic et Christophe Tafelmacher). Pour ma part, en principe tous mes textes sont en libre accès direct ou après autorisation spécifique. Par ailleurs, une bibliographie de mes travaux a été établie par Omar Odermatt et Mariana Nanzer sur la période 1968-2020 que je remercie. Elle est en attente.
Ce type de praxis mériterait une évaluation sur les choix et conditions d’édition possibles (une minorité d’éditeurs et d’auteurs mettent leurs publications en accès libre), qu’internet est en train de bousculer.
REGLES POUR LES TEXTES D’AUTEURS
Nous avons accepté tous les textes offerts dans le cadre des thèmes abordés tout au long de ces années, sous réserve de respect des règles posées. Praitique générale. Il a été demandé aux auteurs, de rédiger un titre court, de se présenter à leur convenance, d’écrire un petit résumé et une courte bibliographie qui permette de situer leur texte dans le contexte du travail collectif (séminaires, colloques, revues en ligne) dans leurs travaux et leurs actions. Il leur a été demandé de privilégier une réflexion personnelle.
La responsabilité du contenu du texte leur incombe. Les auteurs qui ont fourni un, des textes sont donc responsables de leur(s) texte (s), ce qui est en principe indiqué dans une note par leurs soins. Lorsque des corrections sont intervenues lors de la remise de texte, elles ont été uniquement d’ordre formel (ex. précisions, traductions) et ont été acceptées par les auteurs avant publication.
Dans les textes que nous avons publié dans divers cadres (Universités de Genève, Lausanne, mouvement d’asile, de la migration, colloques, séminaires, Collège International de Philosophie[2], etc.), nous avons repris dans le projet des textes originaux et/ou déjà publiés dans le cadre des activités organisées par nos soins avec des appuis, qui nous semblaient avoir un lien direct avec le sujet, sans d’ailleurs pouvoir épuiser ces sources (en partie accessibles sur le site exil-ciph.com, mais pas toujours, certains textes ayant été perdus) et cela grâce à l’accueil et à des appuis de personnes, d’institutions et dans un contact suivi avec les auteurs de ces textes quand cela a été possible (voir la liste des personnes décédées, envers qui nous avons tenu à établir un hommage).
Pour chaque revue en ligne, des groupes de lecture ad hoc ont été constitués pour la relecture formelle (y compris pour les questions de traduction). La responsabilité des contenus des textes incombe aux auteurs.
Nous sommes une Revue en ligne Repenser l’exil (8 numéros), Desexil (numéro spécial), situées dans un site ad hoc, mais nous ne sommes pas encore une revue avec un code ISSN (démarches en cours). Tous les livres publiés disposent d’un ISBN.
Pour bien distinguer le travail effectué depuis la fondation de la revue Repenser l’exil (8 numéros) et le travail de praxis, mémoires, archives, les revues se trouvent sur deux sites distincts : (1) exil-ciph.com, (2) www.desexil.com; revue.desexil@gmail.ch
Précision utile. Bien que, pour les textes envoyés, nous ayons demandé d’envoyer des textes originaux, cela n’a pas toujours été pratiqué par les auteurs, mais en principe indiqué. Une pratique en cours dans la recherche constatée est le fait de placer des textes dans de multiples lieux. Dans certains cas, notre site a été considéré comme un site de placement de texte, ce qui a été discuté. Cela d’autant plus que les jeunes chercheurs ont de la peine à voir leur travail reconnu dans des circuits constitués. Chercher à placer un texte dans plusieurs lieux est un sport de combat du parcours académique discutable mais pratiqué dans la recherche soumise à la concurrence, quoique souvent dénié. La responsabilité en incombe donc aux auteurs. Il a parfois été difficile pour nous, d’assurer que le statut de ce travail et ce lieu soient autonomes par rapport aux pratiques de production et de circulation des textes, mais nous l’avons tenté.
TRAVAIL D’EDITION ET MARCHE DE L’EDITION
Précisons que notre modèle de travail n’a rien à voir avec une économie de marché, ni avec l’inscription des travaux dans le marché de la concurrence et de la circulation des idées dans divers circuits académiques. De jeunes chercheurs souvent précarisés, des chercheurs autonomes ont participé au projet sans intérêt personnel. Ce qui est remarquable vu la précarisation et parfois même la censure.
SOURCES
Certaines sources indiquées sont accessibles ailleurs, mais nous en avons mentionnée certaines dans la mesure où elles ont été des outils de travail et d’enseignement dans certains cas. Par ailleurs, nous avons constaté que la mémoire des luttes mérite d’être avivée auprès de jeunes générations. Certaines sourcessont particulièrement précieuses pour un travail de mémoire et des archives. Pour certaines d’entre elles concernant des événements, des luttes, des personnes ont fait un travail important de récupération.
PERIODE : entre 1968-69 à 2021 (sauf exceptions).
ESPACE PUBLIC CREE
Université libre et autonome, desexil de l’exil, un espace déjà créé par d’autres expériences dans divers lieux, à distinguer des logiques institutionneles et de territoires qui obéissent aux catégories juridiques de l’Etat.
Nous avons travaillé en collaboration avec diverses Universités pour mener à bien des Séminaires, Colloques, Recherches (indications dans le sommaire général et les sommaires des parties).
LIEU D’ANCRAGE ET LIEUX DE TRAVAIL
Genève, ville-frontière en lien avec d’autres lieux en Suisse, dans l’UE, en Amérique latine, en Turquie, en Afrique du nord, dans des refuges, etc..
OBJET
Hospitalité. Politique. Résistance. L’Europe, la politique réinventées
QUI A FAIT LE TRAVAIL ?
Les porteuses, porteurs, participant.e.s du projet pouvons nous définir comme celles et ceux qui avons construit, construisons une Autre Europe. « Exilé.e.s en desexil », nous avons été amenés à désobéir pour créer l’hospitalité politique comme ancrage civique et constituant de la politique citoyenne transeuropéenne.
TERRAINS
Politiques de la migration, de l’asile (« laboratoire » Suisse et de Schengen-Dublin-Frontext), des Services publics, d’exemple du marché du travail et leurs liens avec les transformations de la politique et de la philosophie et aussi les liens aux domaines des savoirs aux frontières et aux imbrications des rapports de classe, de sexe, de race.
LANGUES
Français (dominante), espagnol, allemand, italien, turc, anglais, kurde, serbo-croate langue commune.
MOTS-CLES
hospitalité, hospitalité politique, desobéissance civique, desexil, exil, migration, service public, mémoire, archives, histoire, conflits, souveraineté, Etat, mensonges politiques, apartheid, droit de fuite, autonomie, camps, prolétariat, migration, asile, droit d’asile, violence, guerre, femmes migrantes clandestines, solidaires, exilé.e.s, chasse, droit, constituant, droit de fuite, liberté, égadignité, égaliberté, finitude, ambiguïtés, politique, philosophie, embarras, aporie, énigme.
Marie-Claire Caloz-Tschopp, Genève, avril 2021
[1] Je remercie Omar Odermatt de l’association Savoir libre, à Lausanne, d’avoir fourni les bases techniques pour un accès non seulement sur les sites créés mais aussi dans la Licence Creative Communs Attribution. Je remercie aussi Daniel Vignar à Montevideo pour ses conseils.
[2] Programme EXIL, CREATION PHILOSOPHIQUE ET POLITIQUE. Repenser l’exil dans la citoyenneté contemporaine (2010-2016, prolongé jusqu’en 2019). www.exil-ciph.com. J’ai assumé une responsabilité de direction de Programme et durant un an, une vice-présidence que je n’ai pas prolongé.